Lost Edens

Ben Planescape j’ai essayé, et à part quelques bestioles, il n’y a que deux combats qui sont impossibles à éviter. Ravel et Trias. Tous les autres tu peux, d’une manière ou d’une autre (mais ça implique de passer ton temps à prendre tes jambes à ton cou, et dans Baator et la Forteresse des Regrets c’est guère évident.

Dans mon souvenir, il y a une quantité conséquente d’items pour un jeu de cette catégorie. D’abord, tous les trucs que tu récoltes pour que des artisans te fabriquent des munitions. Pour le reste ça fonctionne plutôt comme un Zelda, avec les armes, les gadgets, les soins et les munitions. Et la chaussette sale.

En fait, ce n’est pas tant le design à proprement parler d’Outcast qui pose sa marque, c’est l’ambiance générale qui se dégage. L’atmosphère, dirait-on.
J’ajouterai que trouver un trailer potable d’Outcast relève de la gageure, mais à ce sujet, des passionnés préparent une suite non-officielle (mais comprenant le script du deuxième opus avorté pour cause de clé d’Appeal sous la porte) avec le Cryengine2 sur Crysis, sous le doux nom d’Open Outcast.

Merci!
Je veux bien, pour DAO.
Mais d’abord il y a Gothic 3, Mass Effect, Stalker, Bioshock, Unreal III, The Witcher, Silverfall et Loki qui attendent que j’aie enfin une machine décente (et je parle même pas de Pop, des Assassin’s Creed, de Crysis, de Risen, de DMC4. La vie est un monde cruel).

Pour Advent, c’est juste un gros nanar/défouloir. Mais bizarrement, il ne sombre pas trop dans le comique involontaire. Déjà à cause de la trame assez grave (au sens gravité), mais aussi parce que l’action over-too-much, l’aspect para-cartoon et les design afférants forment un tout somme toute assez cohérent.
Ce qui me fait en outre remarqué que j’ai complètement oublié de parler de la musique du jeu, qui de très bonne facture. Vraiment.

Merci pour le dossier
Je cherchais sur le net des infos sur les meilleurs mods pour améliorer le jeu techniquement mais celui-ci m’épargne pas mal de boulot ^^

Rohlàlà le massacre…
A ce niveau-là je pense qu’il faut porter plainte. :’|

(le dernier en “lien caché” dans les commentaires est la cerise sur le gâteau !)

TON TEMPS DE JEU? xD

J’imagine que c’est normal si le titre me rappelle un des jeux de mot de Contrario. ^^’

J’ai feuilleté la chose, et je dois dire que les Japonais devraient s’inquiéter, sinon ils risquent rapidement d’être battus sur leur propre terrain par des mangas qui savent garder le meilleur du média tout en proposant une vision propre à la culture occidentale. C’est une oeuvre perfectible, mais aux qualités intrinsèques indéniables. A acheter de toute urgence pour tout fan de mangas qui se respecte. (Ce qui n’est pas mon cas, je ferais donc l’impasse sur ce petit bijou, bien que la tentation soit forte.)

http://elrica.free.fr/LE/LostScion/01b.JPG
http://www.raffaello.fr/scholl_def.jpg

J’imagine très bien l’école-soulier.

Lordy > pas besoin de ninjas dans L5A, le clan du Scorpion suffit amplement :x

(Mais sinon je crois qu’il y en a vraiment, si mes souvenirs fumeux sont exacts)

Ah bon ? J’ai toujours entendu dire que les ninjas (shinobis)venaient bel et bien du Japon.

La dernière fois que j’ai joué à L5A, on m’a fait miroiter l’image du ninja romantique avec ses effets pyrotechniques, ses étoiles et sa discrétion légendaire. Je demandais “Alors y a des ninjas ??”, et on me disait “officiellement les ninjas n’existent pas”, et moi de répondre “ouais donc en fait y a des ninjas quoi, c’est bon”. “Les ninjas sont un fantasme, ils n’existent pas”. “C’est ça ouais, prends moi un jambon”. Et en fait il s’est avéré que les ninjas existaient bien (on ne me la fait pas à moi). C’était des mecs en pyjama noir qui servaient à distraire l’ennemi pendant que les vraies soldats prenaient position. C’est à peine s’ils savaient tenir une arme. Quel grand moment de jeu de rôle.

Très intéressant…

Je crois plus que tout par une analyse socio-littéraire de ce machin que Naruto relate très bien une frustration de la société japonaise actuelle : celle de la nostalgie des japonais avec la figure sacrificielle de l’aviateur kamikaze de la Seconde Guerre Mondiale, rentrant en contradiction avec les ré-appropriation des valeurs occidentales par les japonais durant le 20ème siècle. Il y a un caractère profondément japonais à l’abnégation pour le bien du peuple (le ninja, le kamikaze, le salarié qui travaille tellement qui n’a plus de vie de famille). Or avec le manga Naruto, la figure du ninja ne tend plus trop vers le sacrifice mais vers des valeurs plus occidentales telle que chérir et préserver la vie, bref un ninja occidentalisé.
Naruto, en quelques sortes, cristallise la perdition de l’identité japonaise après sa modernisation forcée.