Lost Edens

Suffit de pas prendre Ignus
Je le libérait juste pour apprendre ses sorts, et sinon je gardais Morte, Deionarra, Anna, Dak’Kon, et Mordon ou Vaihlor (mais plus souvent Mordon, j’avoue)

Nosgothic Realm.
Et le pire c’est que dans ces jeux là, tu peux pas résumer sous prétexte d’être incompréhensible ou de spoiler au moins deux épisodes.
Souvent plus.

- C’est obligé de faire des campagnes qui choquent la ménagère. C’est le but recherché par nos têtes pensantes.

Pour la sécurité routière => Un espace est retourné en plein milieu d’une route, une petite fille appelle son père et là coup de frein une autre voiture vient s’encastrer dans la voiture accidentée.

Sans parler des facteurs de risque (fatigue;alcool;etc.etc) la conduite suivant la personne au volant devient un risque pour autrui. Il a fallu en France venir à faire de la répression à outrance par-ce que l’information ne fonctionne pas.

Si une campagne de pubs ne choque pas, elle devient banal et tout le monde sans fiche.

Wabon oussa ?

GG Daku.

Youpi, merci daku !

C’est sur, et encore heureux qu’il est moins bon que le deuxième!
Faut dire aussi que c’était leur première ballade dans une licence archi-connue (et il me semble qu’ils n’avaient jusqu’ici que fait les Fallout), donc ils ont pris l’univers de base, avec une histoire relativement basique.
Mais c’est vrai qu’à deux ou trois exceptions près, aucun personnage ne marque, parce qu’à part deux ou trois remarques de bases, ils n’ont rien.
Pour les ballades, au moins ils ne t’imposaient pas de faire tout le chemin d’un point à l’autre à chaque fois, tu pouvais te rendre dans n’importe quel coin désolé une fois que tu l’avais trouvé, et c’était cool. C’était peut-être l’habitude, mais ça m’avait manqué (et j’étais pas le seul) toutes les zones transitoires avec tous leurs petits trucs cachés.

Pas faux Daku: les CRIT, les WE divers organisés par les différentes filières universitaires (ou de prépas), sans compter les congrès faluchards, en sont la preuve vivante; sur un open bar de plusieurs jours, des gens bourrés quasiment en permanence (et pas qu’un peu, un CRIT ça peut grimper jusqu’à 2000 personnes et ça s’étale sur presque une semaine, les congrès faluchards c’est entre 100 et 500 personnes), et pourtant… Pour en avoir fait une certaine quantité, je confirme ce que tu dis.
Quand tu compares les milliers de personnes complètement torchées qui sont impliquées, le taux d’évènements regrettables n’est pas dérisoire, à ma connaissance, il est quasiment inexistant.

Mais faudrait aussi que les organisateurs de ce genre de battage sortent de leur tour d’ivoire et de remarquer que eh oh? Tout n’est pas noir dans un hymne à la cirrhose. Et surtout qu’ils arrêtent de marcher à l’émotion aussi.
Et de légiférer sur un cas marginal comme si c’était un phénomène de masse.

Quant à la publcité dénonçant les méfaits de l’alcool, je trouve ça bien de prendre enfin l’alcool comme un danger (mais ça ne se traduit pas ailleurs et on préfère diaboliser le cannabis), cela dit c’est prendre les gens pour des imbéciles et des criminels en puissance que de montrer que l’alcool mène automatiquement (comme semble l’induire le clip) au viol ou à la violence. Là aussi en réalité tout dépend de la consommation (quantité, qualité, manière de consommer) et de l’état physiologique de chacun. Et je ne crois pas que les violeurs aient besoin d’alcool ou que l’alcool amène une telle violence. En réalité les gens restent plus ou moins civilisés même ivres et personne n’aura l’idée de violer une copine. Je trouve ça extrêmement malsain, dérangeant et choquant encore une fois. On instrumentalise, on amalgame, et cela part pourtant d’un bon sentiment, comment peut-on une nouvelle fois en arriver à ce résultat ? Dans la plupart des cas l’excès d’alcool (bien sûr on déconseille de conduire ou de nager dans la mer) n’entraîne qu’un vomissement et une gueule de bois le lendemain matin, bref rien de plus normal.

Bref, proposons par exemple de vrais cours d’éducation sur le traitement des médias, la sexualité ou la dégustation d’alcool.

D’une certaine manière il s’agit d’une maladresse car le but premier de la publicité est d’inciter les parents à activer leur contrôle parental pour protéger leurs (jeunes) enfants. Le jeu vidéo, en ligne ou non, peut être choquant ou violent pour cette tranche de vie (tout comme les films d’horreur) et les MMO peuvent induire un comportement de repli sur soi menant au statut de “no-life” ce qui n’est pas une très bonne chose (désintégration des liens sociaux de l’enfant/adolescent, parfois un schisme avec la réalité, échec scolaire, etc). Alors ce sont des maux que d’autres choses peuvent entraîner et leurs effets les plus négatifs ne toucheront comme pour tout qu’une infime minorité de personnes sensibles et psychologiquement enclines à cette destabilisation. On peut donc comprendre cette politique familiale et de prévention. De plus, si au cinéma les âges sont respectés il en est différemment pour les jeux vidéo. Les étiquettages sont rarement vérifiés par les parents et les magasins peuvent conseiller ou déconseiller un jeu sans pour autant refuser de vendre. Il y a donc peut-être d’autres choses à développer.

Toujours est-il que cette publicité, même si fondée sur quelque chose de valable, diffuse un message biaisé et se fait très malsain car associant les pires atrocités avec un loisir légal et pratiqué par un grand nombre de personnes. Les joueurs sont de plus en plus nombreux (casual gaming) et sont en majorité de jeunes adultes qui entre dans la vie active ou en passe de fonder une famille. Ils sont certainement responsables et connaissent les jeux vidéos, je ne pense donc pas que la prévention nécessaire doive passer par un clip qui amalgame trop de choses. La prochaine génération (voire l’actuelle) connaîtra forcément le jeu vidéo comme sa poche et saura faire avec ses “dérives”.

Il aurait été plus judicieux de découper cette publicité en 4 spots avec une explication concise et explicite sur ce qu’on entend par la dénonciation imagée de telles pratiques. Car le jeu vidéo n’est ni une atteinte aux droits de l’homme ni un crime. Le jeu vidéo est même le contraire, il est légal, est un “jeu” dans toute sa définition, fait participer l’imaginaire et maintenant la famille. C’est du plaisir et du bonheur.