Hadō Sonzai
Manga :
Année de sortie (Jap/Europe) : 25/08/1998 – --
Studio : N/A
Chara-designer/compositeur : Kosuke Fujishima / N/A
Anime :
Année de sortie (Jap/Europe) : 1993 – 1998
Studio : AIC
Chara-designer/compositeur : Kosuke Fujishima / Takeshi Yasuda
Informations complémentaires :
Magazine de prépublication : Aftermoon
Editeur original : Kodansha
Editeur français : Pika
Morisato Keichi, un étudiant en mécanique, fait un jour un faux numéro et tombe sur un standard “SOS déesse-amitié” (clin d’oeil des traducteur à vous-savez-quoi) Belldandy, une déesse, apparait alors dans la pièce et lui demande de prononcer un voeu. Keichi, pensant à une blague de ses amis, lui dit qu’il voudrait qu’une déesse comme elle reste avec lui pour la vie.
Keichi se retrouve donc avec une déesse comme compagne et se fait vite virer du foyer de la fac (réservé aux hommes). Il trouve refuge dans un temple. Le prêtre, impressionné par l’aura de Belldandy, part en pélerinage en Inde pour chercher l’illumination et leur lègue le temple. Une nouvelle vie bien mouvementée peut donc commencer pour Keichi.
Parti d’un concept assez simple (une etrangère essayant de s’intégrer dans un monde dont elle ne connait rien), ce manga évite les pièges classiques du genre et réussit à ne pas tourner en rond. De nouveaux personnages s’ajoutent ainsi au fil de l’oeuvre, étoffant le scenario par leur présence. De plus, on assiste à un équilibre entre différents aspects du manga. Il se divise en séries d’anecdotes qui peuvent être réparties en trois catégories.
En outre, Fujishima est passionné par la mécanique. On voit ainsi apparaitre de très nombreux modèles existants. La plupart des projets dans lesquels les sempai embarquent leurs pauvres membres sont égalements parfaitements plausibles (ce qui est irréel, c’est la facon dont ils sont abordés, complétement par dessus la jambe)
Passons maintenant aux personnages, ceux si cont classés en plusieurs catégories. Déesses, anges, mortels et démons.
Les déesses :
Les anges sont les inséparables compagnions des déesses. Ils se fondent dans leur corps et ressortent quand elles les appelent ou lorsqu’elles combattent.
Une petite liste des mortels :
Les démons :
(Résumé par Tchyo, qui n’aimait les accents à l’époque :p).
/Avis données sur la V2/
Les OAV sont d’un intêret assez mineur. Les trois premières ne font que résumer les 5 premiers volumes en sautant une quantité démentielle de détails. Les deux dernières, quant à elles, racontent une histoire à part qui reste peu intérressante et qui ne s’inscrit absolument pas dans la continuité du manga. De plus, elles mettent beaucoup trop l’accent sur la relation Keichi-Belldandy, au détriment des deux autres aspects (que j’ai décrit plus haut). Enfin, une dernière critique sur les sous-titres francais qui sont une pure abomination.
Le film, par contre, équilibre assez bien les trois piliers du manga. On retrouve en effet un complot contre Yggdrasil, une course de kart et une mise à l’épreuve pour Keichi et Belldandy. De plus, l’histoire est intérressante et les nouveaux persos suffisamment crédibles. Par contre, il vaux mieux avoir lu un bon nombre de tomes du manga avant, certains personnages comme Peorth n’étant introduits que tardivement et perdent de leur saveur pour quelqu’un qui ne les connaitrait pas encore assez bien.
C’est sympa Ah my goddess, même si c’est loin d’être original ^^ (le manga-harem, un grand classique que je déteste presque aujourd’hui… Love Hina)
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J’ai jamais regardé l’anime, par contre le manga est l’un des premiers dont j’ai fait la collection.
L’histoire était sympathique et j’aimais beaucoup les dessins. J’achètais les numéros dans le désordre à mesure que je les trouvais en magasin (j’avais commencé par le 8). XD
J’ai été surpris de voir à quel point le style des dessins changeait rapidement au cours de la série, ce qui fait que finalement, de ce côté j’apprécie seulement ce qui se trouve entre les volumes 7 et 12 (avant c’est vilain et après c’est trop bizarre :x). D’ailleurs c’est là que je me suis arrêté, après avoir complété avec les tomes précédents, parce qu’à partir du 13 le trait qui continuait de se transformer virait dans un style qui ne me plaisait guère. :\
Ça plus l’histoire dont je déplore le ‘sur place’ (je sais, bon), plus les autres séries à côté (ah, et le fait que le côté mécanique me passe complètement au dessus de la tête), il en fallait pas plus pour me convaincre d’arrêter.
J’exclue pas d’en reprendre la collection un jour mais ce sera pas pour demain (et jusqu’à maintenant ce sont pas les quelques pages que j’ai feuilletées des volumes suivants qui me font envie :/). ^^
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← Pic: cosmic
Pas de problème avec le style, je préfère même celui utilisé dernièrement. Mais ça commence un peu à être lassant. Pas assez de renouvellement, même pour du slice of life. Peut-être que je reprendrait quand j’aurais oublié mon overdose.
Il y a eu une série TV depuis, deux saisons. C’est sympa à voir et pas trop mal réalisé, mais je trouve que ça lasse encore plus vite. Mais je dis peut-être ça parce que j’ai tout vu assez récemment, alors que j’ai commencé le manga il y a des années déjà.
Et au risque de décevoir Echy, Skuld n’a pas vraiment gagné en forme sur plus de 25 volumes :x
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Saviez vous que la doubleuse de Beldandy est celle qui double I-no dans Guilty Gear ?
Le pire étant que dans guilty, elle sort des trucs de culs la moitié du temps. Genre contre Eddie elle sort un truc du genre : “J’adoooore les plans à trois !” avec un voix de chaudasse.
Désolé Tchyo.
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Elle a fait pire que ça en fait. MØUSE ou Ogenki Clinic par exemple. Mais j’avoue que c’est plus une exception qu’autre chose dans son cursus. Kikuko Inoue est plutôt associée à des personnages dans la lignée de ses rôles en tant que Belldandy et Kasumi de Ranma ½.
À titre d’exemple, elle a aussi doublé Hrist et Lyseria dans Valkyrie Profile, Liete dans Grandia, Rosemary dans MGS2, The Boss dans MGS3, Luna dans Lunar Silver Star Story et Eternal Blue. Uraha dans AIR, Mercédès dans Gakutsuou, Electra dans Nadia, Mizuho dans Onegai Teacher/Twins, Misty May dans Otaku no Video, Alv dans Kiddy Grade, Natsue dans Pretear et Nanase dans Yumeria. Juste un aperçu d’une longue carrière.
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