Yggdra Union - We'll never fight alone |
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Le “nouveau” T-RPG Atlus ! Yggdra Union est un T-RPG développé par Sting et édité par l’incontournable Atlus. La licence est née il y a déjà 2 ans sur la bonne vieille GBA et depuis quelques jours on peut découvrir ou redécouvrir son remake PSP ( disponible JP/US ). Il était une fois… Yggdra Union c’est l’histoire d’une princesse, Yggdra, fugitive de son royaume de Fantasinia attaqué par l’empire de Bronquian. Mais Yggdra prend soin d’emmener la grosse ( et lourde ? ) épée sacrée, Gran Centurio, avec elle. Lors de sa fuite, la princesse est traquée par l’Empire mais ces derniers doivent faire face a Milanor et sa troupe de voleur. Au terme d’un premier combat ( faisant office de tutorial ) Milanor va proposer son aide a notre petite tête blonde. L’Union fait la force ! Voila qui pourrait être un sous-titre tout approprié... Le jeu adopte un système très différent de la normale T-RPG, on a toujours notre grille de cases mais c’est un peu plus complexe que cela. Au début de chaque mission, on doit choisir un certain nombre de cartes. Chaque carte dispose d’informations bien précise. Le POW suivi d’un nombre a 4 chiffres, qui correspond bien entendu a l’étendue des dégâts que l’on pourra infliger au cours du round. Le MOV suivi d’un nombre a 2 chiffres, correspondant au nombre de déplacement MAX par tour, ce nombre vaut pour toute l’équipe ( si on a un 6, au terme d’un déplacement de 6 cases, plus personne ne pourra bouger ). On peut aussi voir une petite arme ( hache, épée… ) dans le coin gauche, ça voudra dire que l’arme en question peut déclencher un “Ace”. Si celui qui utilise une carte hache se bat a la hache, il fera plus de dégâts. Et enfin, chaque carte a une technique spéciale qui peut soit augmenter les stats alliées soit infliger des dégâts aux ennemis, ainsi de suite. Une histoire de moral… Maintenant que les bases sont posées, intéressons nous aux combats. Niveau graphismes, on en prend plein la vue ( a moins d’être aveugle et/ou dépressif ), les artworks ( et sprites ) du peu connu Satoko Kiyuduki sont un délice. L’OST est elle aussi très sympathique ( et retravaillée pour l’occasion ), on nous offre même le choix des voix JP ou US. Pour ce qui est de la durée de vie, on a pas moins de 49 maps a traverser, autant dire que y’a du boulot. Il faut également savoir que de nouveaux objectifs s’ajoutent au fil d’une seule map. C’est plutôt triste a dire mais remake ne rime pas forcement avec contenu additionnel…Détrompez vous, cette fois, on est gâtés ! Pour peu que vous vous intéressiez au T-RPG, c’est un très bon parti, je n’ai pas encore réussi a trouver son défaut ! |