Lost Edens

Premier billet pour moi, soyez indulgents et apportez des critiques CONSTRUCTIVES =D

Que peut il bien se cacher derrière un nom aussi barbare ? Rythm Tengoku (Rythm Heaven) est comme son nom l’indique…un jeu basé sur le RYTHME (OUI !). Aux commandes la team responsable de Wario Ware, ça promet… La série a vu le jour il y a déjà 2 ans sur Gameboy Advance, mais est (malheureusement) peu connue sur notre territoire. En effet, le jeu n’est jamais sorti du sol nippon, ce qui en soi, est un drame. Par ailleurs, une version GOLD, propre a la DS est sortie il y a quelques mois…

Mais grâce a dieu (et Nintendo), notre bonne DS n’est pas zonée ! (Huhu…) J’ai donc pu apprécier ce jeu pour Lost-Edens =D

AU RAPPORT !

Le paradis du rythme ?

C’est un fait indéniable, ce jeu porte bien son nom. Cette fois, le jeu est intégralement jouable au stylet, ET ÇA MARCHE. On tiens la console d’une manière peu habituelle, sur la tranche (a la manière d’Hotel Dusk), vous pouvez donc avoir mal aux mains si comme moi vous jouez toujours avec une DS Tank… Le jeu comporte 10 série de 4 stages dont 1 “Remix” (combinant les 4 stages). Au bout des 6 premières series, on a le droit de débloquer les 4 supplémentaires qui sont en fait un “best of” des stages, plus rapides, plus durs. Niveau bonus, on est gâtés, il y a pas mal de mini-jeux souvent plus débiles les uns que les autres que l’on débloque avec des médailles. Ces médailles s’obtiennent en réussissant un (presque) sans faute sur un stage. On peut obtenir des médailles supplémentaires en réussissant un Perfect, selon la bonne volonté du comp. qui proposera un Perfect Rush aléatoire sur un stage réussi au préalable.

Qu’est ce qu’on va faire alors ? Faire chanter des statues Moai, entrainer des cigognes de l’armée, faire chanter des Classmen, applaudir une Idol par le biais de SINGES (un de mes préférés <3), je vous laisse découvrir la suite. La difficulté est inégale, certains stages se feront FIZN, d’autres demanderont beaucoup de patience…ou pas. En effet, au bout d’un certain nombre d’échec, le jeu vous proposera gentillement de switcher au prochain stage !

Les musiques sont très variées, on est loin d’Oendan niveau références puisqu’aucune des pistes ne sont connues. On a juste le droit a un nombre incalculable de situations grotesques saupoudrées d’une musique plutôt bonne. (Mais tout n’est pas bon)

Niveau point noir, le jeu est intégralement en Japonais ce qui peut en rebuter plus d’un. NÉANMOINS, le rythme n’est pas propre a nos amis Japonais, rien ne vous empêche de tenter votre chance ! Le jeu n’est pas très long non plus, mais on y reviendra avec plaisir, même pour se refaire une épreuve pour 2min.

En somme, on a entre les mains un jeu qui vous fera rire du début a la fin, avec un “sound design” assez ravageur. De plus, pour apprécier ce jeu dans toute sa splendeur, vous devrez avoir quelques problèmes mentaux.

Enjoy !