MUI MUI (Test flash)
Ça y est, depuis quelques jours la suite tant attendue du jeu le plus populaire de la PSP est disponible ! J’ai donc sauté dessus pour voir ce que le jeu avait dans le ventre, mais avant ça, petit retour en arrière.
Kézakoroco ?
Pour les retardataires, Locoroco est un OVNI (je doute qu’on puisse lui coller un “genre”) disponible sur PSP depuis presque 2 ans maintenant. Le principe, a la base, se veut très simple. On joue 2 boutons, L et R qui respectivement font basculer l’écran a gauche ou a droite. S’en suive des petites touches de gameplay qui aident a progresser dans le stage, L+R pour sauter, O pour diviser son Locoroco en plusieurs d’une moindre taille.
L’intérêt réel de ce jeu réside dans l’aspect visuel mais surtout sonore. Chacune de nos bestioles de couleurs possède une voix différente. Par conséquent, selon le “personnage” joué, le thème du stage sera chanté différemment. Soyons honnêtes, dans tout les cas, ça dépote.
Locoroco 1.5 ?
On prend les même et on recommence ! Comme vous devez vous en douter, le scénario du titre ne vole pas très haut. Cette fois, les Moja (êtres noirs et vils) se sont mis a la chanson et viennent troubler notre paisible planète. C’est ainsi qu’on lance le premier Locoroco dans l’aventure.
Cette fois on a une sorte de map sur laquelle on navigue pour choisir son stage, l’effort de présentation est honorable.
On note quelques ajouts niveau gameplay egalement. Souvenez vous des NPC qu’on rencontrait au fil des niveaux avec lesquels on pouvait interagir suivant le nombre de Locoroco en notre possession. Cette fois, avant cette interaction, on aura droit de réaliser un petit jeu de rythme, très basique, pour gagner des notes de musique(nouvel ajout, les notes permettent de faire “Level up” le niveau, et ramasser plus facilement les bonus).
A présent, nos amis rond peuvent NAGER, une simple pression de la touche O les fera couler, sympa.
Mais la ou le bas blesse, c’est qu’au bout de quelques heures, on a vraiment l’impression d’être devant le premier jeu.
Les niveaux sont similaires au premier opus, Jungle, Glace, même le ventre d’un pingouin… Je n’ai remarqué qu’un environnement exclusif, grâce aux Bui Bui (Mui Mui maléfiques…).
Pareil pour les chansons, ce qui peut en gêner certains (personnellement, j’ai toujours été dans le trip).
En somme, si vous avez pas fait le premier, jetez vous en priorité sur le deuxième… Si comme moi vous voulez quand même entendre des chansons débiles pendant des stages d’une dizaine de minutes, foncez !
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