Le truc, c’est que rien qu’en février de cette année, aux zétazunis, il y a eu cinq (!) fusillades rien qu’en milieu scolaire. Donc forcément ils sont un peu sur les nerfs, parce que c’est un phénomène qu’ils ne comprennent absolument pas. La seule prévention qu’ils ont à disposition, c’est de trouver qui se comporte de façon bizarre et d’intercepter.
Franchement, un prof qui trouve un carnet avec une liste de gens à tuer, même s’il connaît le contexte (ce qui n’est pas gagné), il y a de bonnes chances qu’il ne prenne pas de risques. Au mieux les jeunes s’en tirent avec une causette avec un juge pour mineurs et une grosse frousse, au pire ils ont vraiment un problème et ils peuvent être aidés avant d’avoir l’idée de vraiment dégommer leurs camarades.
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