Code Geass R2 #11 |
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Le pouvoir des sentiments. Ca commence à devenir intéressant. Bon, alors la grande question apparue à la fin de l’épisode précédent trouve sa réponse quasiment immédiatement dans cet épisode. C’est bien. On n’est pas obligé d’attendre deux épisodes pour l’avoir comme dans Lost (on me signale dans l’oreillette qu’il faut parfois atteindre plusieurs saisons). Cet épisode fait la part belle à du combat avant tout, mais surtout à l’avancée des plans machiavéliques de Lelouch. Je rappelle qu’à la fin de l’épisode 10, Zero et ses alliés étaient acculés à une montagne alors que les Eunuchs (ceux qui contrôlent le pouvoir en Chine) ainsi que Schneizel et ses amis de Britannia étaient aussi présents pour aider la Chine (et en retirer une substantielle récompense). Les chinois veulent sacrifier l’impératrice. Xing Ke, comme on peut s’y attendre, va s’intercaler entre les deux pour protéger sa dulcinée, et se verra obligé d’affronter un Knight of Three, pendant que l’autre (la fillette, Anya) affrontera des membres d’élites des Black Knights. Parmi eux, CC. Et au contact de son ennemie, nous verrons quelques flashback de l’époque où Lelouch était petit, avec Mariane, sa mère. Y’a-t-il un lien entre Anya et Lelouch ? Au moins, les scénaristes essayent de donner de l’intérêt à ce personnage, contrairement à l’autre Knight of Three qui n’est là que pour exciter les jeunes filles en manque de bishônen. Bon, je ne peux pas terminer sans parler de la session fan service de cet épisode. Des images valant mieux qu’un texte, je vous présente les remplaçantes officielles de Kallen, à savoir CC, et dans une moindre mesure Shirley. Ceci étant fait, je ne vais pas non plus raconter tout l’épisode. Comment Zero s’est servi du peuple chinois. Comment Britannia a déguerpi. Comment Zero a sorti Gawain (le Knightmare). Comment Zero planifie de contrôler le pouvoir du Geass. Non, nous aurons l’occasion d’y revenir dans les prochains épisodes. Je dirai simplement que cet épisode m’a beaucoup plu. Que nous repartons bien. Et que j’ai hâte de voir la suite. Et comme dirait l’Empereur : All hail Britannia! |